LENR-Cities sur son facebook cite un article sur LENRG publié dans Energy.Now.
L'article décrit bien les LENR, l'approche comme les projets de de LENR-Cities...
Un article sur la communauté des écosystèmes d’innovation paru dans le dernier magazine Energy.Now ! , une publication de SwissEngineering, prennant pour exemple l’écosystème LENRG, développé par LENR-Cities SA dans le but d’accélérer l’industrialisation de technologies LENR telles que le traitement des déchets nucléaires, la transmutation, la superconductivité, la production d’hydrogène et la production directe d’électricité.
ENERGY.NOW! est une édition annuelle sur la politique énergétique, les infrastructures et les innovations technologiques de l’industrie suisse et fournit des informations détaillées sur l’aspect technologique, économique et politique de l’énergie durable ainsi que sur une prospective respectueuse de l’environnement.
Lien vers l'article pdf http://lenr-cities.com/docs/SE/EnergyNowAout2015.pdf
Voici, pour les traducteurs automatique le texte brut :
Display MoreLa communauté des écosystèmes d’innovation
La technologie LENR, qui permet de produire des quantités importantes de chaleur en continu en ne dégageant ni CO2, ni déchet radioactif, est en vogue en ce moment. Une communauté internationale de chercheurs, regroupée sous l’égide de la société neuchâteloise LENR-Cities, est active dans ce nouveau champ de recherche LENR en recouvrant des technologies telles que le traitement des déchets nucléaires, la transmutation, la supraconductivité, la production d’hydrogène et la production directe d’électricité. Cela offre des débouchés infinis.
(Photo)Le cœur de l’équipe de LENR-Cities.com et LENR.org. De gauche à droite: Yogi Srivastava, Michel Vandenberghe, Angelo Ovidi, Luca Gamberale, Georges de Montmollin, John Swain, Allan Widom et Didier Pelluet.
Après la fission et la fusion nucléaire, voici venue la réaction nucléaire à basse énergie, autrement dit [lexicon]Low Energy Nuclear Reactions[/lexicon] (LENR). Il s’agit de réactions basées sur les transmutations atomiques qui furent découvertes initialement en 1989 par les scientifques Martin Fleischmann et Stanley Pons. «Bien que ce domaine fut originellement et malencontreusement appelé «Fusion Froide» , ce domaine couvre des champs d’expérimentations et d’application bien au-delà de la fusion froide», relève le site internet Lenr-cars.com. LENR est aussi appelé ANR «Fleischmann/ Pons Effect, Anomalous Heat Effect» ou effet d’excès anormal de chaleur, «Quantum Fusion,CECR, LENT ou Controlled Electron Capture», capture électronique contrôlée.
Les expérimentations LENR ont permis de démontrer des dégagements d’énergie largement supérieurs à toute forme de réactions chimiques connues et des densités d’énergie jusqu’à 20 millions de fois plus importantes que les réactions de combustion utilisées dans notre quotidien. Par exemple, la technologie LENR permet de produire des quantités importantes de chaleur de manière continue dans des réacteurs de petite taille, durant plusieurs mois en ne consommant que de toutes petites quantités de carburant et cela sans produire aucun gaz à effet de serre tel que le CO2, aucun déchet radioactif ni aucun type de radiation dangereuse. C’est en fait un moyen extrêmement propre et sans risque, de production d’énergie.
«Le LENR ouvre la porte à l’industrie du XXIème siècle»
Les développements récents de la technologie LENR ont permis d’atteindre des puissances bien plus importantes que les quelques Watt des expériences originelles de 1989 qui utilisaient du palladium et du deutérium dans une cellule électrolytique. Les réactions modernes utilisent une combinaison d’hydrogène gazeux ou stocké sous forme d’hydrure et de nickel nanostructuré. Les générateurs récents peuvent atteindre des gains de puissance proches d’applications commerciales pour la production d’énergie. «Peu de scientifiques sont au fait des travaux dans ce qui se révèle être un nouveau champ scientifique. LENR ouvre la porte à l’industrie du XXIème siècle», souligne Didier Pelluet, ingénieur en aéronautique et cofondateur de LENR-Cities à Neuchâtel.
Pour lui, cette technologie est en dehors du champ organisé de la science et à l’intersection de plusieurs domaines scientifique: physique quantique, physique de la matière condensée, nanoscience en particulier. «Plus un domaine est disruptif (ndlr: qui éclate), moins il y a de scientifiques actifs dans ce domaine et ces derniers sont aux frontières de la science reconnue».
L’ «innovation de rupture»
Forts de cette constatation, Didier Pelluet et son collègue Michel Vandenberghe, ont analysé l’évolution du champ de recherches LENR, non pas du point de vue scientifique, mais en considérant la signature d’une «innovation de rupture» (changement de concept), cherchant son chemin sur plus de deux décennies. «Nous avons identifié les scientifiques clés de stature mondiale et les avons convaincus de coopérer à un même projet dont le cœur d’activités est de créer un marché pour accélérer le développement et l’industrialisation des technologies LENR», précise-t-il. Une fois les chercheurs contactés, LENR-Cities a bâti et consolidé un team scientifique par ailleurs fortement connecté à la communauté mondiale: «Si la clef théorique de LENR est totalement révélée, elle le serait par eux et si ce n’était pas le cas, notre équipe serait naturellement positionnée pour répondre à la demande qui exploserait suite à cette révélation».
Trois projets fondamentaux
Dès lors, en janvier dernier, LENR-Cities organise son premier grand événement à Oxford en démontrant que le champ d’application de cette technologie allait largement au-delà de l’énergie et que son offre d’intermédiation dans le développement de marché est nécessaire aux scientifiques, industriels et investisseurs pour s’inscrire dans un écosystème, les écosystèmes étant au cœur de nouveaux marchés et nouvelles industries (avant 2018, 30% des industries seront «Amazoned», une prévision IDC et Gartner). Suite à cette rencontre, l’écosystème LENRG développé par LENR-Cities s’est engagé à concevoir trois projets avec des acteurs clés du paysage scientifique, technologique et industriel européen
- Le premier de ces projets concerne la transformation des déchets nucléaires. Il s’agit de transmutation d’isotopes radioactifs pour la décontamination de déchets radioactifs. Un NDA qui rassemble 11 groupes théoriques et expérimentaux est signé, centré sur le Royaume-Uni qui prend à cœur l’élimination définitive de ses déchets nucléaires, au même titre que le Japon (Lancement du programme LENR Impact)
- Le deuxième aborde la certification LENR. Comme annoncé lors de l’événement LENR-Cities à Milan, en avril puis à Neuchâtel fin juin, par Airbus Group qui soutient LENR-Cities depuis le début, il s’agit à la fois d’une approche expérimentale pour montrer ce qui arrive réellement, et théorique pour permettre une ingénierie du domaine et le développement de produits. Une machine thermique est mise à disposition par Airbus.
- Le troisième prévoit de nouvelles piles et des carburants hydrogénés. Il s’agit de technologies qui vont changer le jeu comme, par exemple, dans tous les systèmes de transport ou les systèmes nécessitant de l’autonomie.
«L’an 1 d’une nouvelle ère industrielle»
Selon Didier Pelluet, les développements récents de LENR indiquent que l’année 2015 pourrait être l’an 1 d’une nouvelle ère industrielle. «Dans quelques années, les premiers utilisateurs, entreprises et particuliers, pourront être autonomes et indépendants en énergie et la société dans son ensemble développera alors une nouvelle économie combinant croissance et soutenabilité », estime-t-il. Selon lui, «LENR sera le catalyseur d’une transformation de l’industrie mise au service de chaque client, propre et adapté à chaque contexte, l’opportunité de transformer la vie de tout un chacun». Alors, quel en sera le challenge ? «Rien de moins que de créer une nouvelle économie.
L’objectif n’est pas seulement d’industrialiser les technologies LENR mais de permettre à toute industrie d’innover en intégrant LENR dans ses produits et technologies propres. Nous avons besoin d’innover afin de permettre une transition massive et virale vers l’industrie LENR et au-delà de l’énergie, de favoriser l’innovation et la croissance dans toutes les industries ».
(rke)
Info:
www.lenr-cities.com
www.lenrg.org
En filigrane
Les acteurs de l’écosystème LENRG
L’offre de LENR-Cities est doublement intéressante puisqu’elle réduit le risque d’innover et accroît la valeur en retour pour chacun des acteurs de l’écosystème LENRG:
- Les PME ont ainsi l’opportunité d’innover plus rapidement et à un coût inférieur
- Les startups découvrent des marchés mieux alignés avec leurs innovations
- Les grandes entreprises ont la possibilité de développer leurs écosystèmes propres
- Les innovateurs et scientifiques peuvent acquérir des financements et un retour équitable sur la valeur globale produite
à propos
LENRG: lire l’énergie
Implanté à Neuchâtel, LENR-Cities SA a pour ambition de créer un pôle d’excellence mondial développant l’outil de production à haute valeur ajoutée d’une nouvelle industrie dans le secteur de l’énergie et de ses applications. La société vise également le développement de l’économie locale pour la production des équipements nécessaires au projet de transition énergétique de la Suisse. Elle veut également valoriser des savoir-faire et la culture suisse – scientifique, technologique et industrielle – de la Suisse romande dans les domaines des nano et micro technologies, Green Manufacturing, robotique et production.
LENR-Cities s’investit en tant que source d’innovation et de création de valeurs dans l’ensemble des industries. La société dispose également d’une marque suisse: LENRG, le «G» pour lire l’énergie qui désigne l’écosystème qu’elle développe.