Transmutations biologiques et naturelles

  • Je travaille maintenant depuis plus de deux ans par la voie documentaire sur la question des travaux de Kevran, Vysotskii etc. et j'ai rejoint l'association SNMC, comme d'autres ici, organisée autour de J.P.Biberian. Je publie actuellement au fur et à mesure ma doc et mes écrits sur un blog que l'on accède par mot de passe (qui est "montessori"). Je souhaite partager plus amplement ces documents et ces analyses/commentaires. Voici donc le lien vers ce blog :


    http://kervran-investigation.eklablog.com/

  • JeanM,


    In biological systems you find TRANSCRIPTIONS and MUTATIONS but not TRANSMUTATIONS.


    This would be alchemy which has been practiced for four millenia without success. We say that during the first 3.9 millenia alchemy was a protoscience eventually leading up to modern chemistry. But those who persue alchemy today are regarded as working within the realms of pseudoscience.


    Biological transmutations may be regarded as a subspecies of LENR, as improbable as any other variety of LENR, to the border of the impossible. Or passed it.

  • This would be alchemy which has been practiced for four millenia without success. We say that during the first 3.9 millenia alchemy was a protoscience eventually leading up to modern chemistry. But those who persue alchemy today are regarded as working within the realms of pseudoscience.


    In the vacuole of cells nanocristalls can fall out. This is one prerequisite for LENR, the others are still unknown.


    May be Branzell should once ask SPAWAR about the reality of LENR.

  • Ok Michel Vandenberghe, it is your opinion, an opinion, but there you are on LENR forum, and your opinion seems to not match exactly with there, and with many studies about this question, for exemple and espacially Vysotskii experiments with transmutations, transmutations, from Cesium to Baryum. Perhaps you have to transmute yourself, I'm sorry to say that, to transmute you from basical materialism, which is in fact a beliefs' system, to a new and oppened view on the subject. From lead to gold. Welcome.

  • La
    vie trouve toujours la voie. (M. Chrichton)


    Si
    il y a une possibilité d'utiliser les LENRs, vous pouvez être sûrs
    que la vie l'a trouvée.


    La
    question, c'est si c'est possible d'utliser les LENRs, pourquoi les êtres vivants se
    fatiguent-ils à utiliser la photosynthèse qui a un rendement
    minable, à respirer des sulfures dans les fumeurs noirs (autotrophie
    par chimiosynthèse, rendement encore plus minable) ou s'épuisent-ils
    à courir après des proies pour oxyder leur matière organique et en
    tirer de l'énergie? (hétérotrophie)


    J'ai
    postulé qu'il existait une quatrième voie, anecdotique, la cristallosynthèse,
    mais le rendement serait encore plus faible:
    (https://www.researchgate.net/p…es_mineraux_et_des_hommes)


    Je
    suppose donc que si les êtres vivants n'utilisent pas plus les
    LENRs, c'est que le prix à payer doit être extrêmement élevé:
    les effets collatéraux de l'utilisation de cette énergie doivent
    être désastreux pour l'ADN et les autres molécules biologiques
    d'importance.


    Les
    transmutations ne doivent être utilisées par les êtres vivants
    qu'en cas de carence absolue, comme par exemple dans les expériences
    de Kervran.

  • Toutes
    proportions gardées, c'est comme la méthode CRISP / CAS9 contre les
    virus: c'est efficace chez les bactéries, cela leur économise un
    système immunitaire, ce qui serait toujours possible à imaginer, à l'échelle d'un
    grand nombre de bactéries.


    Mais
    le prix a payer est une instabilité génétique terrible, et on se
    rendra compte qu'il faut payer CASH ce prix, lorsque l'on appliquera
    cette technique aux embryons humains.

  • "Si il y a une possibilité d'utiliser les LENRs, vous pouvez être sûrs que la vie l'a trouvée" ... c'est clair. Il y a tant d'aspects à investiguer et éclaircir à ce propos.


    Vladimir Vysotskii montre que des culture microbiologiques en croissance sont capables de procéder à la synthèse nucléaire d'un élément qui serait manquant dans le milieu nutritif, ou bien à la synthèse d'un analogue chimique. Par exemple le Césium est transmuté en Baryum en l'absence de Potassium, mais moins du fait de sa valence que de son rayon ionique, car il semble que ce soit plutôt en ce sens que Ba2+ est analogue de K+. D'autres expériences de Vysotskii vont en ce sens, tel par exemple la synthèse de fer manquant à partir du sodium et du phosphore.


    Mais un autre aspect est à considérer il me semble. On trouve dans les écrits de Lynn Margulis ("le monde béctériel") l'idée que le monde bactérien agit de manière coordonnée, comme s'il s'agissait d'un être unique, et que ce super-organisme bactérien a changé et adapté la composition de la surface terrestre en fonction de ses propres besoins. Elle mentionne en particulier le taux d'oxygène dans l'air qui a été produit et est régulé à la juste proportion qui permet la respiration oxygénée sans pour autant être une menace oxydante, puisque l'oxygène est très réactif et agressif. Ce taux juste d'oxygène étant le résultat de l'action bactérienne (la catastrophe oxygène, les cyanobactéries). Cette coordination bactérienne, cette idée d'un super-organisme unique, conscient même car c'est Lynn Margulis qui l'exprime ainsi, peut s'expliquer par la théorie d'une conscience de nature quantique, mais c'est une autre histoire, fort passionnante.


    Ceci pour dire que l'entièreté de la planète (en surface, atmosphère + croute) a été remaniée et adaptée aux besoins de la vie par la vie elle même, c'est ce que suggère l'ouvrage "continuous creation" de Wilfred Branfield, ce qui rejoint la pensée de Vladimir Vernadski, auteur du concept de biosphère.


    On pourra par exemple, pour rejoindre les travaux de Kervran, se demander si le calcium de la croûte terrestre n'a pas été purement et simplement généré par l'action des microorganismes depuis les temps les plus anciens, ceci afin que les êtres vivants puissent se constituer des coques, puis des squelettes. Il faut donc en somme considérer que les transmutations pourraient aussi se dérouler de manière très furtives, puisque l'accumulation de tels processus au fil des temps géologiques aboutit en final à un profond remaniement des compositions chimiques de surface. On peut donc avoir d'une part des transmutations faciles à mettre en évidence, tandis que dans d'autres cas elles seraient infinitésimales presque, et ainsi noyées dans l'ensemble des processus chimiques en œuvre, impossibles pratiquement à mettre en évidence sur un temps court, celui des expériences de laboratoire.

  • Petite interview plus ou moins habile sur le web, à propos des recherches (documentaires) que je mène sur les transmutations biologiques. Plus précisément ici sur l’impact du phénomène en exobiologie. Je dois préciser que la thèse que je présente sur la question « Terre boule de neige » est à reconsidérer à la lumière d’éléments qui m’avaient échappés. L’ensemble reste néanmoins pertinent, de mon point de vue en tout cas.

    I will publish on ResearchGate in the near futur.


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    Document associé : https://1fichier.com/?gjfogym1b8

  • I discovered Gennadiy Tarassenko researches some few days ago only. The quantum entanglement is probably an additional aspect to consider. LENR agents can act as a single macro entity you write, this is compliant with the Lynn Margulis approach.

  • I've published an article on ResearchGate with the title: Do the comets produce water from silicate rocks?


    Abstract: It is shown there that a bio-nuclear machine, consisting to couple an exothermic nuclear reaction with an endothermic one, is able to synthesize water from magnesium silicate matters in comets. These machines would be proteins molecules. The typical reactional system is an association of Mg+C→Ar reaction with the target Si→C+O. All the energy levels has been computerized in a spreadsheet, according to all the isotopic possible combinations, and by applying basic rules. It shows all the main characteristics discovered in comets water and in chondrites, while many of them are not well understood today or identified as anomalous. These characteristics are: an excess of deuterium in the cometary water, for chondrites the richness for oxygen-16 and the excess of oxygen-17 versus oxygen-18 which defines the CCAM line, the excess of magnesium-26 and magnesium-25, the excess of nitrogen-15, the argon and the calcium anomalous fractionations. Even better, these results lead to understand chondrules and CAIs as resulting from this bio-nuclear activity. The regularly excess of the comets temperatures also find an explanation with this present theory.


    https://www.researchgate.net/p…water_from_silicate_rocks

  • Comment on fait pour faire "reply to ..." ?


    @ Francice DAVID : je pense que les LENR en biologie sont actives à certains stades du développement de la vie, et en cas d'évènement extrêmes. Lorsque les choses sont installées, elles ne joueraient qu'au second ou au troisième ordre. Mais imaginons qu'à chaque génération, une espèce d'arbre fasse tomber à son pied toujours un petit plus de par exemple de l'azote. Au bout de quelques générations ça peut jouer, formater le sol, ajouter à l'humus cet azote à moins que lui aussi ne le fasse, ou bien en y ajouter d'autres opérations etc...


    Cela dit il semble qu'il y ait des cas aujourd'hui, tel que le salpêtre poussant sur la chaux, le phosphore abondant chez les cyanobactéries et les diatomées aussi il me semble. Dans le corps humain ... je me suis dit que ces réactions pourraient gouverner d'atres mais qui seraient chimiques, qu'elles pourraient influer sur la marche du corps.


    Concernant l'article que je viens de publier en anglais je fais un post exprès

  • These machines would be proteins molecules.


    Could be. But no guarantee. The elaboration of transition metal chemistry by addition of biochemical structure, let us say by "proteins" is less clear the more primitive the such a structure might be. For example, tetrahydropyrrole / porphyrin surrounding iron, magnesium or cobalt in respectively heme, chlorin or cobalamin. Look at the structure of cytochromes. Surely very deep in biological evolution, and sure enough, the least like "proteins" of common "modern" (last 3.6 X 10^9 years) enzymes surrounding and enhancing their presumed antecedent metallic co-factors, or functionally enhancing their metallo-porphyrin core functionality. The question might be, was there an era of "chemical evolution" that pre-dates the evolution based on our current molecular biology. The evidence is quite clear that other paradigms of biological evolution could easily have preceded the present DNA > RNA > protein scheme. "RNA world" has had quite a play in biochemical evolutionary theory. But even before that hypothetical era, there may well have been transitory precursors before chemical evolution gave way to biological evolution.

  • I don't know if I answer the remark ( Longview) : I don't have any explanation about how the chemistry could generate complex molecules, like proteins. I've identified the nano-bacteria, "nanomes" would be a better word, as the object which embed the protein bio-nuclear machine. The enzymes are proteins, regularly identified as the agent of biological transmutations by CL.Kervran. I extend to all kind of proteins, perhaps not all the proteins but not necessarily only the enzymes. Their alpha-helixes would be the canal for the transmission of the neutrino from a exo-reactional site to the endo-reactional site. The neutrino would be magnetized before entering the machine (by a mean I don't know), it is described there :


    https://www.researchgate.net/p…ons_in_biological_systems

  • Oui, je suis d’accord avec Jean M. Le couplage entre deux systèmes enzymatiques (une réaction endothermique et une exothermique) est ce qui permet à la vie d’exister.


    Après tout, si l’environnement qui permet aux LENR d’exister apparaît dans un simple alliage de palladium ou de constantan, pourquoi ne pas estimer que 4 milliards d’années d’évolution sur Terre et dans le système aient permis l’apparition de systèmes macromoléculaires biologiques capables de faire mieux ?


    Il serait temps de refaire les manips de Kervran dans des conditions propres (salles blanches, labo P3, vaisselle en téflon ou en polyéthylène) Le modèle bactérien s’impose, car il permet de contrôler rapidement les intrants (ce qui n’est possible qu’après plusieurs mois et plusieurs génération avec des gallinacés.)


    Malheureusement, autant il est possible de faire de la Fusion Froide dans sa cave, autant ce genre d’expériences n’est possible que dans un centre de recherche bien doté.

  • L'idée du couplage réactionel vient de Baranger qui était responsable du département de chimie de l'école polytechnique, il manipait avec des graines germées. Pour un chimiste c'est logique, les réactions d'oxydoréduction en biologie fonctionnent sur le même principe. Une réaction oxyde (combustion sans flamme des sucres) qui alimente une réaction réductrice telle celle qui recharge l'ADP vers l'ATP dans le cycle de Krebs. A peu près ça ...

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