Grande nouvelle,

le 2ème Symposium sur les Réactions Nucléaires à Basse Énergie (RNBE2018) est annoncé pour le vendredi 23 et samedi 24 mars 2018 à l’espace Hermès, situé 10 Cité Joly dans le 11ème arrondissement de Paris.

http://www.sfsnmc.org/index.ph…siums/symposium-rnbe2018/

Quote from SFSNMC

Date et lieu

Le symposium sera organisé du vendredi 23 au samedi 24 Mars 2018 à l’espace Hermès, situé 10 Cité Joly dans le 11ème arrondissement de Paris. L’impasse Cité Joly débouche dans la rue du chemin Vert. Téléphone 07 83 45 00 92.

Accès : MÉTRO : Stations à proximité : Rue Saint-Maur (240m), Père Lachaise (310m), Ménilmontant (460m), Voltaire (570m), Parmentier (700m), Philippe Auguste (710m), Saint-Ambroise (740m). Voiture : La rue du Chemin Vert est en sens unique. Très peu de parkings à proximité. Bus RATP : 61 – 69 – 46

Objectifs et thématique du symposium

Suite à la première édition du Symposium RNBE-2016, les participants ont fait part de leur intérêt pour renouveler l’évènement. Le but de cette édition sera tourné autour de la consolidation de la communauté de chercheurs Français et de l’ouverture du domaine aux applications industrielles. Elle permettra aux francophones de partager leurs efforts de travail et les résultats obtenus pendant l’année. Par contre, elle sera dans un format plus court, sur une journée et demi seulement.

La langue de ce symposium sera le Français.

Thèmes scientifiques abordés

• Calorimétrie,
• Transmutations,
• Théories,
• Science des matériaux,
• Mesures de Particules et Rayonnements,
• Reproductions,
• Aspects expérimentaux.

Coût de l’inscription pour les participants et les accompagnants

Les frais d’inscription pour les participants est pour le moment estimé à 100€ et de 50€ pour les personnes accompagnantes. Ceci couvrira le coût des pauses cafés et des déjeuners pour les participants seulement, mais aussi le dîner de gala pour tous.

Programme anticipé

L’accueil prévu le vendredi à 14 heures.

Vendredi 23 mars après-midi

• Session 1 : Ouverture
• Session 2 : Analyses des entités commerciales opérant dans les RNBE
  
• Session 3 : Applications des RNBE aux industries du futur
  
• Apéritif suivi du repas
  

Samedi 24 mars

• Session 4 : Théories
• Session 5 : Expérimentations
• Repas
• Session 6: Analyses expérimentales
  
• Session 7: Table Ronde
  
• Fin de la conférence vers 17h

...

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Pour ceux qui n'ont pas été prévenu,

il est déménagé (et ne durera que samedi)

Il nous a été offert le déménagement de notre événement à une autre adresse, la voici:

SEFOREX

253, rue du Faubourg Saint Martin

75010 Paris

Comprenez que ceci est entièrement indépendant de la volonté des parties investies dans cet événement.

Merci et veuillez accepter nos sincères excuses pour l’impact que ceci peut avoir sur votre reservation d’hotel notamment.

Samedi 24 mars à 9h

• Session 1 : Ouverture
  • Acceuil des conférenciers - Mathieu Valat
  • RNBE-2016 à RNBE-2018, récapitulatif des avancées - Jean-Paul Biberian

Pause café (10h)

• Session 2 : Recherches expérimentales
  
  • Décharges électriques dans l'eau : Bilan énergétique - Gaëtan de Lachèze Murel
  • Explosions électriques dans l’eau - Jacques Ruer

Déjeuner (12h)

• Session 3 : Recherches théoriques
  
  • Énergie de liaison des noyaux légers, cas des noyaux à N alpha - Phillipe Hatt
  • Quelques questions autour des orbites électroniques profondes - Jean-Luc Paillet

Pause café (17h)

• Table Ronde : Etat de la recherche française et discussion autour de son développement
  

Fin de la conférence vers 18h

• Assemblée générale de la société française pour la science nucléaire dans la martière condensée (publique, participation optionnelle).

Son oeuvre lui survivra.

Il y a des réplications en cours je crois.

C'est l'immortalité du scientifique.

Remerciement pour son travail.

Je le connais surtout pour une électrolyse à plasma, symétrique de Mizuno.

Il est aussi connu pour la théorie des Erzion et divers observations...

je ne suis pas convaincu, mais qui sait...

Le symposium s'est tenu hier.

Des anciens et de nouveaux visages. Des chercheurs, jeunes et retraités, des gens de l'industrie en haut et en bas de l'organigramme... Je suis très heureusement surpris de la variété de l'auditoire.

Comme pour le précédent RNBE il y avait quelques anglophone, comme Dewey Weaver et JD Vinko de l'ISCMNS, ainsi que quelques belges et suisses.

je vais faire une rapide synthèse, plutôt dans l'esprit d'un teasing que d'un rapport.

Je vous conseille, si le "teasing" vous semble séduisant, de consulter les document, voir de demander des informations directement aux auteurs.

La première présentation par Jean-paul Biberian a fait le bilan de ce qui s'est passé à l'ICCF20 de Xiamen et sendai et au workshop ISCMNS de Asti.

Jean-paul Biberian a repris ses synthèses publiées sur son blog à l'époque.

http://blogde-jeanpaulbiberian.blogspot.fr/2016/10/

http://blogde-jeanpaulbiberian.blogspot.fr/2017/06/

A repasser sur ces conférences, on voit le travail important des japonais, qu'il conviendrait de réanalyser. Sinon des travaux variés, en Russie, Ukraine, USA, Italie, Chine, Inde, Hongrie, France et des exmériences ancienne revisitées.

A noter que le prochain Workshop n°13 de l'ISCMNS a été annoncé par W Collis pour les 5-9 octobre 2018; les détails sont à lire prochainement sur le site de l'ISCMNS.

http://www.iscmns.org/

Ensuite des expériences (assez proches) en cours en France ont été présentées par la Fondation louis de Broglie, et ensuite Jacques Ruer.

La première est une expérience de décharge électriques dans de l'eau, liée à l'hypothèse d'existence de monopole magnétique leptonique(théorie de George Lochak).

Des décharge calibrée par la charge d'une capacité sous quelques kV, sont envoyée dans un éclateur (vis en inox), dans de l'eau déminéralisée maintenir à l'ébullition, et la calorimétrie se fait en mesurant la perte de masse d'eau, quand la vapeur produite est bien sèche.

Le gain de chaleur par rapport au chauffage de fond est d'environ 10%.

Le COP relatif aux impulsions est de l'ordre de l'ordre de 3 quand on est conservatif, mais si on analyse les pertes (commutateurs 17%, résistances 64%) il semble que le COP relatif aux impulsions est de 8.5. le COP reste à 1 quand l'éclateur est court-circuité. L'expérience est répétable mais ne marche en moyenne que une fois sur 4, et dépend de plein de paramètres connus (eau non conductrice) et inconnus. Des amélioration son en cours, avec un calorimétrie à eau froide liquide (ca semble marcher), et l'abaissement de la tension qui semble améliorer l'efficacité.

Il faudra consulter les documents publiés.

La deuxième que Jacques Ruer a présenté est celle d'explosions électrique dans l'eau.

Ell ressemble aux travaux de Graneau, Randell Mills (cité dans un de ses brevet), et Tucker Levitt (voir de Trowbridge en 1907).

L'idée est de déclencher une explosion supersonique dans l'eau par des décharge électriques brutales.

Pour celà une cathode oscilante est plongée dans de l'eau peu conductrice jusqu'a ce que l'arc soit créé.

L'explosion peut être très violente (au point de détruite la cellule), mais ne se produit pas systématiquement (parfois un arc simple se produit avec l'au trop conductrice).

une surtentions très ellevée est observée, et semble être causé par l'expansion du plasma (effet dynamo). Ce n'est probablement pas une anomalie, mais pourrait servi de marqueur pour les décharges efficaces.

Il n'y a pas encore de résultat de calorimétrie.

2 autres présentations théoriques ont suivie.

Philippe Hatt a présenté sa théorie de la structure des noyaux atomique composés de particules alphas.

Il montre comment l'énergie de liaison de ces noyaux peut s'explique par des particules alpha reliées par des liaisons NN NPP NN et NNP.

Il recherche de l'aide sur divers points, notamment la modélisation dans l'espace de sa théorie.

jean Luc paillet a présenté les travaux qui réalise avec Andrew meulenberg sur les états électronique profonds, en intégrant des corrections relativiste sur les modèles atomiques.

Il a réussi a monter que de tels état serait possible, de trouver le niveau d'énergie et la stabilité (vers 1.6fm, énergie de liaison vers les 509keV). il utilise

A la fin la question a été posée de savoir comment il était possible de placer un électron dans un tel état. Il semble qu'il faille des pression incroyables, comme dans les étoiles à neutron ( des observations astronomiques semblent le permettre), ou pourquoi pas dans des nanocrack comme Edmund Storms le propose.

Finalement Jean-luc Biberian a présenté différentes expérience semblent révéler des transmutations LENR.

Il a évoqué les travaux de Benjamin baril, montrant apparemment des transmutations biologique dans des cyanobactéries.

Ensuite il a évoqué sa coopération avec George Egely (Hongrie) avec de possible transmutations dans du charbon de bois sous microondes dans une chambre intégrant un magnétron réglabme de four, mais aussi une cellule en quartz avec une électrode accordée.

Enfin a a évoqué les analyse isotopiques de vielles électrode que Martin fleischmann a utilisé pour des expériences ICARUS9 et qui s'étaient révélées très productives.

L'analyse a révélé la présence d'argent 107 spécifiquement présent dans le premier 1µm de surface (une erosion progressive montre comme l'anomalie est visible en surface et disparait après 1µm). Il y avait aussi clairement des "hotspot" où se concentrent les anomalies.

Le fait que l'anomalie ne soit observée que dans le premier 1µm est un fait très important pour la compréhension du phénomène.

Jean-Paul Biberian a aussi évoqué le témoignage de Stanley Pons sur l'incident de 1985, avec un cube de 1cm de coté, où une réaction PdD avait faut un tou dans la table et le sol.

F&P avaient laissé tourner l'expérience depuis longtemps, et avaient décidé de réduire la densité de courant en prévision d'un week-end de 3 jours, afin d'éviter les problèmes.

rétrospectivement il semble que ce soit probablement la cause de l'incident, par le déchargement du cube.

La taille du trou a été évoquée avec Stanley Pons qui semble vraiment énorme selon ce que JP Bibérian a montré, un diamètre bien au dela du 20cm, et une profondeur de plus de 10cm... Mon estimation visuelle est peut être faux, mais on est loin du témoignage cité usuellement évoquant un petit enfoncement d'un doigt dans lé béton... Le témoignage de l'interne qui assistait F&P, et évoquait un truc énorme, semble finalement assez juste.

La dernière session a été une table ronde sur la manière de faire avancer et structurer la communauté.

Le fait que la fusion, froide soit un mot tabou en France a été évoqué, et cela semble interdire les financement. c'est un domaine qui "n'est pas recevable".

dan sl'économie actuelle il y a de l'argent, mais dis-t-on il n'y a pas de "bons projets"... La fusion froide aujourd'hui, malgré ce que nous savons, ne fait pas parie des "bons projets".

Marc Benmarraze et Christophe Pellerin ont évoqué le besoin de faire un document de référence où les prétentions diverses soient jugées, où les consensus soient cités, et les prétentions "non consensuelles" rejetées. le but serait de proposer aux décideurs, politiques, des rapports mieux informés que ceux que des "experts" du CEA habituellement interrogés répondraient ("c'est du bullshit, n'y pensez même pas"). Il faudrait tout d'abord "faire du ménage" afin de rendre crédible le domaine.

D'après eux, "ca part dans tout les sens", et il faudrait une stratégie claire, établir un but commun, avec par exemple 2 lignes d'expérience à soutenir, pour changer la vision des autorités.

Mais d'autre voix plus sceptiques se sont élevées, rappelant que la situation était connue depuis longtemps, et que ce cercle vicieux d'une recherche peu financée incapable de produire des résultats clairs capable de rendre le domaine "acceptable" était un fait contre lequel tout le monde se battait déjà dans la salle.

Faut t'il reconnaître qu'aucun financement public ne permettrait e financer les recherches actuelles visant à rendre le domaine acceptable ? que seul le privé est capable de financer ces recherches disruptive ? ou faut t'il quand même espérer ponctuellement des décisions plus ouvertes ?

La France serait l'un des lieu où la fusion froide serait la plus active, avec l'italie, en Europe, avec un potentiel de financement public énorme, à débloquer... D'autres avancent par contre que culturellement, organisationnellement, ce serait le pire endroit pour ce type d'innovation.

Il a été aussi évoqué le fait que le privé, s'il est ouvert à la nouveauté, requiert par contre des résultats rapide , et ne peut se permettre de financer sans résultat des recherches pendant des années...

En tout état de cause, Christophe Pellerin a propose de coordonner la création d'un document synthétique, et demande à ce que les personne souhaitant y participer contactent Mathieu Valat de la SFSNMC.

Il y avait dans la salle une volonté de soutenir cette initiative, mais aussi des sceptiques.

Mathieu Valat rappelle qu'il existe un groupe google SFSNMC (demander votre inscription) pour échanger.

https://groups.google.com/forum/#!forum/sfsnmc

Je note au final quelques point d'intérêt essentiels de ces échanges :

1. la réaction se produit apparemment dans le premier 1 micromètre (preuves solides)
2. La température de 300°C revient souvent comme point optimal dans les expériences (suspicion)
3. une réaction semble fonctionner avec un plasma, de l'hydrogène 1 et des électrodes en inox (à confirmer)

I note finally few essential points, from our exchanges :

1. the reaction apparently occurs in the first 1 micron (solid evidence)
2. The temperature of 300 ° C often appears as "sweet spot"in the experiments (suspicion)
3. a reaction seems to work with a plasma, hydrogen 1 and stainless steel electrodes (to be confirmed. Said by Klimov at ICCF19 too)

Les débats sur comment faire avancer les choses ont levé des question et des émotions fortes, et il est vrai que nous sommes de par le monde bloqués, sans avoir trouvé comment s'en sortir.

Je suis tombé sur cet article

Transformation: la vision, c’est l’opium des organisations

Quote

La recherche en entrepreneuriat a montré depuis longtemps, avec le concept d’effectuation, que les entrepreneurs font émerger leur vision chemin-faisant. Celle-ci émerge de leurs actions basées sur l’application de quelques principes simples, mais génériques. La clé de la transformation organisationnelle ne réside donc pas dans la conception du plan parfait basé sur une vision, mais sur la mise en pratique de ces principes à tous les niveaux de l’organisation. La création du contexte permettant cette mise en pratique est le seul véritable impératif de la direction générale.

D'un autre coté, la fusion froide doit passer sous les fourches caudines d'organisation para-étatiques pour se faire financer, et devenir "acceptable".

Peut être la solution est elle "les deux mon général" :

• Que l'initiative de constituer un document de référence opposable aux décideurs est une bonne idée,
  • que d'y faire le ménage entre les prétentions délirantes, douteuses, ou solides (selon des critères forcément discutables), sera une bonne chose
  • que d'y proposer des axes de recherches ciblés, capable d'attirer des members de la communauté (ou pas).
• mais que cela devra se faire comme une initiative parmi d'autre, sans volonté d'organiser le domaine, juste de fournir un éclairage, une vision parmi d'autres, avec l'espoir que cela attirera des volontés et des actes.
• Et que pour le reste, on devra continuer a faire "avec les moyens du bord", ce qui est bien décrit par les principes d'effectuation que l'on pratique dans la communauté LENR comme Mr Jourdain pratiquait la prose.
  • faire avec ce qu'on a sous la main
  • n'investir que ce qu'on peut perdre
  • coconstruire la solution avec "le client", qui ici n'est pas très clair (la nature, la communauté, les autorités à convaincre, les industriels intéressés?)
  • exploiter les surprises
  • forcer le destin plutôt que de chercher à le prévoir...

Personnellement s'il y avait deux lignes d'expériences à promouvoir, et un budget je partirait sur 2 axes

1. Une ligne PdD à visée scientifique
   • Le but essentiel est de fournir une expérience fiable, réplicable, que l'on puisse instrumenter.
     • avec l'espoir d'alimenter les théoriciens (avec des descriptions de sites,lois, des réfutations d'hypothèses), voir les ingénieurs (avec des lois phénoménologiques)
   • Je proposerais de répliquer Fralick (et Biberian, Liu, Nasa GRC), avec des expériences sur des filtres PdAg et avec de l'infiltration de D2.
     • Comme le propose Edmund Storms, éventuellement commencer par préparer des électrodes via une électrolyse, vérifier la chaleur anormale, puis les sortir pour une expérience sèche.
   • Le but est double,
     • d'un coté bénéficier du fait que le PdD est parfaitement prouvé, avec des milliers d'expériences réussies, et plein de cause d'échec connues.
     • de l'autre en restant "sec", et avec une forme plate (pas des particules), on autorisera des mesures et analyses plus riches, et même en temps réel.
       • analyse en temps réel des rayonnement (X? UV? particules ?)
       • une spectroscopie temps réel éventuellement (Iwamura et ses films Pd Ca D2 -> Pr est un modèle)
       • des analyses moins contaminées que les électrolyses
       • des analyses sous microscopie électronique, voir à force atomique
     • On pourrait aussi ajouter des excitations déjà utilisées (Denis Letts, Vitorio Violante, Spawar...)
       • impulsion magnétiques
       • champs magnétiques fixes
       • lasers
       • battements THz
       • glow discharge
       • faisceau électroniques, atomiques
2. Une ligne à visée pratique et démonstrative
   • Le but sera de fournir des POC (Proof Of Concept) crédible, voir industrialisables
     • avec l'espoir
       • de justifier le financement d'une recherche fondamentale,
       • de permettre une industrialisation de type "Minimum Viable product"
       • et en tout cas de créer un intérêt certain, un engouement, et donc un finacement plus sérieux, et des talents qui arrivent pour participer.
   • Je proposerais de partir sur des micro-poudres nanostructurées dans la lignée des expériences japonaise de Mizuno&al
     • On partira de ce qui est confirmé par les acteurs sérieux et publiés du domaine, comme les japonais (ou Thermacore,...)
     • Selon la logique d'effectuation (exploiter les surprises), L'accident de Didier Gras pourra guider quelques recherches. Il y a d'autres accidents dans l'industrie qu'il faudra recenser et exploiter.
     • Selon la logique de l'effectuation (faire avec ce qu'on a), on testera les poudre produites par les industriels qui participent, quitte à les adapter selon ce que les japonais ou d'autres ont créé.
     • Les diodes de Fabrice David sont peut être un départ

Mais déjà je vois les limites de ma vision.

• Les recherche avec le palladium coûtent trop cher
  • Peut être faudra t'il "bricoler", chercher dans les placards
• Les expériences de décharge dans l'eau citées à RNBE2018, semble plus facile à réaliser avec nos moyens,
• Peut-être finalement est-ce plus simple, plus rationnel, de faire avec ce qu'on a, plutôt que de planifier...

J'ai des idées, mais sont elles bonnes?

Sur l'effectuation, je suis tombé sur un résumé plus clair:

Pour créer : 5 principes à suivre
1/ Démarrer avec ce que vous avez
2/ Agir en perte acceptable
3/ Engager des parties prenantes
4/ Tirer parti des surprises
5/ Créer son contextehttps://www.ekito.fr/people/effectuation-les-5-principes-de-lentrepreneuriat-pour-tous/

The accident that Didier Gras reports with Ni plated by cathodic sputtering on ZrO2 powder and electrolysed with H20 (and Na-amide electrolythe), match many of your remarks, but it is yet to be replicated.