Evolution du principe de fonctionnement de l'e-cat

  • LENR - E-Cat : Transmutation à basse température [Principe de fonctionnement théorique en 2012].
    Le procédé de l’E-Cat s’apparente aux transmutations à basse température. Il faut obtenir au départ une température de 150 à 500°C . Il s’agit de mettre en présence 50 grammes de poudre de nickel chauffée à 300°C (par l’électricité du secteur pour démarrer la réaction, mais l’appareil tournera ensuite en auto-suffisance) et de l’hydrogène, sous une pression de 2 à 20 bars, qui provient d’un réservoir incorporé au E-cat, en présence d’un catalyseur secret. Cette réaction produit une énorme quantité de chaleur, avec un COP de 40 ou plus (coefficient de performance, rapport entre l’énergie récupérée et l’énergie injectée ). Vous donnez 1 kilowatt à l’entrée, vous récupérez 40 kw à la sortie.
    Les appareils commercialisés produiront de 10 à 30 kw, largement suffisants pour alimenter une habitation ou une petite voiture. On peut les accoupler pour faire des centrales, ce qui pourrait donner un recyclage aux centrales nucléaires. Mais qui dans ce cas-ci seraient propres, sans résidu radio-actif, et sûres: ça s’arrête en quelques minutes.
    La réaction produit des rayons alpha et gamma (gamma d’énergie inférieure à 300 keV). Ce qui prouve qu’une réaction nucléaire est à l’œuvre. Mais un blindage de plomb de 50 kg sur 2 cm d’épaisseur (soit un volume de 4 litres environ) les arrêterait et l’appareil en fonctionnement n’émettrait ni neutrons ni protons.
    Quelques heures après l’arrêt, il n’y aurait plus de rayonnement ni de déchets radioactifs, même au centre du réacteur. Le “combustible” et les déchets ne seraient pas radioactifs. La radioactivité de l’eau chauffée ne serait pas modifiée.
    En cas d’emballement du réacteur, un excès de production de chaleur réduirait l’efficacité de la réaction et tendrait à limiter cet excès. De plus, dans ce cas, le système de sécurité activerait le préchauffage auxiliaire pour renforcer cette limitation.
    Lors de la maintenance, tous les 6 mois, le nickel serait recyclé et le petit réservoir d’hydrogène à 160 bars (quelques litres) remplacé. Au bout de 2,5 mois d’utilisation, le nickel contient environ 10 % de cuivre (isotopes 63 et 65) et 11 % de fer. Ceci prouve donc une transmutation du nickel en fer et en cuivre, et donc la preuve que la transmutation à basse température est possible..... 19/01/12 http://bit.ly/1vpRLik


    - On en était là en 2012. Maintenant même Rossi ne comprend pas les résultats et pire encore semble découvrir le phénomène. C'est vraiment très inquiétant, pour moi c'est de l'amateurisme. D'un autre côté si un amateur est capable de concevoir un e-cat, la réplication devrait être encore plus simple.
    - Ils ont développé l'e-cat sans rien comprendre de la théorie physique à l'oeuvre, ni même de ce qui se passait en pratique.
    - Au début on remplissait la chambre d'hydrogène sous pression, le lithium semble plutot servir à transporter l'hydrogène. A la rigueur ils ont pu voir un avantage 2fonctions en 1. catalyseur + apport d'hydrogène.
    LiAlH4 wikipédia : De nombreuses recherches sont aussi menées depuis quelques années pour l'utiliser pour le stockage d'hydrogène pour les piles à combustible.
    S'il veut commercialiser la recharge en plus de la machine, il faut qu'elle soit particulière, si çà avait été simplement de l'hydrogène impossible de commercialiser un carburant facile à produire soi-même par simple électrolyse d'eau.
    Pourtant la poudre de nickel avec une granulométrie particulière aurait déjà été plus compliquée à se procurer.
    - L'évolution montre qu'il s'agit surtout d'un choix à but commercial ou de simplification d'utilisation, mais n'est pas une condition pour que la réaction se produise.
    - Si le nickel et le lithium transmutent aussi bien, quel autre métal peut transmuter encore, le fer, l'or l'argent.
    - Finalement l'alchimie pierre philosophale flamel plomb en or, il y avait un fond de vérité.
    - A l'époque ils disaient meme qu'il y avait émission de rayon gamma qui prouvent la transmutation, il y avait un blindage au plomb dans l'e-cat pour s'en protéger. Et maintenant il n'en est plus question.
    - Le nickel était censé transmuter en cuivre, maintenant la présence de cuivre n'est plus que de l'impureté.

    • Official Post

    Le réacteur au vu des détails, le conducteur dopé, l'alumine, l'hydrure de lithium et d'aluminium, le controleur triphasé, la poudre qui intègre le carburant et résite a l'air, me semble au contraire être une ingénierie de bon gout, que j'attribut a des ingénieurs expérimentés, dont Rossi mais caertainement pas seul.


    par contre la théorie ne doit pa sêtre très maitrisé...
    on ne sais pas quelle théorie Rossi a, et peut être qu'il a juste raté un détaile, mais qu'il a le gros de l'histoire...


    le vrai problème de ce réacteur c'est la stabilité et je crois qu'il a gagné. il faudrait le voir réagir a un caloporteur.


    c'est une technologie jeune

  • - Le chauffage est réalisé par une résistance chauffante ou par induction ? Est ce que la réaction se produit dans les 2 cas, si non, alors ce détail a son importance.
    - Les analyses montrent qu'il n'y a pas de deutérium, que de l'hydrogène normal, d'où proviennent les neutrons alors ?

    • Official Post

    comme l'explique ed Storms dans son analyse des théories
    http://lenr-canr.org/acrobat/StormsEexplaining.pdf
    et dans son livre en détail: http://lenrexplained.com/


    il est impossible que les neutrons expliquent la fusion froide... même si une infime partie rebonissait sur un noyau au lieu d'être abosrbé, on les détecterait comme des neutrons thermiques...or il y en a environ mille milliards de moins que attendu.


    un autre point c'est que des gros gammas ne sont pas produits, ce qui impose avec la conservation du mouvement que deux particule chargée soient émises en opposition, ou que deux se rejoignent en un point pour en former une immobile...
    les désintégration pour la plupart sont impossible et seraient détectées si la chaleur en provenaient


    le chauffage semble par chauffage, mais la machine est clairement plus futée qu'il ne semble.


    une question qui m'intrigue comme d'autres c'est comment la poussière reste poussière à la température de fusion du nickel... il faudrait une oxyde pour augmenter le point de fusion, mais cette atmosphere est réductrice et chaude... ya un truc...


    que rossi ait parlé de blindage au plomb ressemble à un coup de bluff, mais qui sais il y croyait peut être.


    ca me rappelle la cellule electrochimique de fleischmann... une éprouvelle on disait... sauf que c'était un calorimère à 0.01W près et 0.1%, à grande sensibilité et large bande passante, grace a une poignée de petits détails subtils (un vide poussé pour le dewar, une forme étroite avec un col très étroit, une métalisation au col, la mesure de l'eau remplacée, des calibrage régulier, un bain thermostaté à 0.01C, des thermocouples à 0.01C...)


    longchampt l'explique bien
    http://www.lenr-canr.org/acrobat/LonchamptGreproducti.pdf


    un moteur à vapeur ca semble simple mais il y a plein de résultat d'expérience et d'explosion, même dans une vieille locomotive.

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